Une sorte de lumière spéciale

31 octobre 2020

Critique par Keven Girard

La langue de Veilleux est acide et nous oblige à nous regarder dans le miroir, à une époque où, paradoxalement, on s’y regarde peut-être un peu trop. D’une grande lucidité, la poète braque sur nous une lumière aveuglante, parfois dérangeante, qui nous heurte et nous fragilise pour mieux nous réconcilier avec nous-même, notre société et les autres. Une expérience angoissante parfaitement satisfaisante.

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