Quand je serai mort
16 septembre 2022
Critique par Isabelle Blier

Je connaissais Réal Godbout, entre autres pour son personnage Red Ketchup, mais lorsque j’ai vu qu’il avait collaboré avec l’auteur de romans noirs Laurent Chabin, je n’ai pas pu résister.
Quand je serai mort, c’est l’histoire de Léon Obmanchik, qui sort de prison après avoir purgé une peine de 10 ans pour meurtre. Il profite de cette nouvelle liberté pour retrouver le fils qu’il n’a jamais connu.
Anita, une travailleuse sociale et journaliste, tente de l’aider de son côté, mais elle découvre les revers de cette histoire tordue. Arrivera-t-elle à le retrouver avant qu’il ne commette l’irréparable ?
Le problème avec les BD, c’est qu’elles se lisent trop rapidement. J’en aurais pris encore !
Godbout illustre à merveille les quartiers sombres de Montréal et Chabin, toujours aussi tordu, nous propose une histoire très bien ficelée et des personnages totalement paumés, prêts à tout pour protéger leurs alliés.
J’ai beaucoup aimé !
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