Harakiri

25 avril 2021

Critique par Amélie Jetté

Roman frappant, happant, percutant, où l’écriture nous mène avec grande fluidité dans les méandres d’un récit complexe et dense, qui ne tombe étonnamment jamais dans la lourdeur, au fil des courts segments des trois narrateurs qui s’assemblent et s’amalgament pour former un tout puissant et empreint d’humanité.

Le roman s’ouvre au moment où «Billie frappe à la porte d’Elsie avec son ourson en peluche maculé du sang de ses parents. Ensemble, elles devront alors traverser une tragédie sans nom et [partager…,] un peu malgré elles, leur quotidien, leur intimité, leur chagrin […]»

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