Pleurer au fond des mascottes
13 avril 2021
Critique par Amy Lachapelle
D’entrée de jeu, j’étais curieuse d’en connaître plus sur cet homme que l’on voit beaucoup à la télévision et dont les tablettes des librairies regorgent des écrits. Simon Boulerice, toujours habillé d’un sourire oversize, semble embrasser la vie, faire vivre l’enfant en lui sans pudeur. Je ne saurais définir le genre exact de ce livre, qui navigue entre la biographie et le récit entrecoupé de réflexions et de micro-auto-analyses.
J’ai aimé découvrir l’univers de Boulerice sous sa plume poétique – son talent avec les mots est indéniable – et le récit porte à la réflexion sur soi, sur les facettes que l’on ose montrer, mais aussi sur celles qu’on tait pour respecter certains standards. Sans aucun doute, l’incursion dans le passé de Boulerice permet de comprendre le personnage médiatique, celui qui brille sous les caméras à grands coups de split. Il s’agit d’un bel ouvrage pour découvrir l’auteur, qui se lit comme un roman.
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