Anna Caritas: le sacrilège
02 novembre 2021
Critique par Alban Gougerot
Quand le mois d’octobre arrive, j’aime me plonger dans des romans d’horreur. Je lis la majorité du temps des romans policiers ou à suspense. Cette fois, j’ai décidé de sortir de ma zone de confort et d’essayer un genre littéraire que je n’ai jamais vraiment aimé: le paranormal. En effectuant mes recherches, j’ai trouvé un roman signé Patrick Isabelle, Anna Caritas. J’ai décidé de me plonger dans cette nouvelle lecture, sans me douter que ce livre ne me laisserait pas indifférent.
Le premier tome d’Anna Caritas, intitulé Le sacrilège, raconte l’histoire de William Walker et de ses amis, qui vivent une vie normale, dans le petit village de Saint-Hector. Cependant, après le retour de Marianne Roberts, une ancienne connaissance, des choses étranges commencent à se produire. William, avec l’aide de ses amis et de Marianne, va tenter d’élucider le mystère.
Comme mentionné plus tôt, je n’aime généralement pas le paranormal, que ce soit dans mes lectures ou au cinéma. C’est un genre littéraire qui a tendance à me dépayser rapidement. C’est peut-être une observation généraliste, mais dans les quelques livres de ce genre que j’ai lus, les personnages étaient peu intéressants; l’intrigue, peu prenante. Anna Caritas m’a donc agréablement surpris. Après quelques chapitres seulement, on vient à s’attacher aux personnages du récit. Chacun d’entre eux a sa personnalité propre, et aucun n’existe que pour remplir les espaces vides. L’intrigue est captivante et reste consistante tout au long du récit. Il s’agit d’un roman relativement long – on parle quand même de 328 pages –, mais qui se lit super bien. Gare à vous: une fois qu’on commence, on ne peut plus s’arrêter!
Je recommande ce livre non seulement aux amateurs d’horreur, mais aussi à ceux qui n’ont jamais touché à ce style.
Si, comme moi, vous avez aimé ce livre, c’est votre jour de chance! Effectivement, il existe actuellement quatre tomes d’Anna Caritas, et un cinquième nous viendra bientôt. Bonne lecture!
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